Seconde Française, un hommage à l’art de vivre à la française

Bientôt 8 ans que Beaubleu distille sa bonne humeur, son esprit français et sa vision du temps qui passe à travers des montres aux aiguilles rondes empreintes de poésie. Chacun vit le temps, les heures et les minutes qui s’égrènent à sa manière, à sa saveur. Nous en faisons tous une expérience différente, selon l’endroit où nous nous trouvons, selon la saison et notre humeur.

Après le lancement de sa collection permanente Ecce, Beaubleu présente la Seconde Française, une série de six modèles en édition limitée (888 exemplaires chacun) qui célèbrent l’art de vivre à la française. Désinvolte, romantique, impertinente, légère et si sérieuse, poétique, artistique, classique et moderne à la fois… c’est bien cette french touch si singulière qui anime la Maison depuis ses débuts.

« Seconde Française », nom féminin : unité de temps propre au style de vie hexagonal. Légère, mystérieuse et approximative, elle illustre un goût certain du Moment, un brin désinvolte.

Avec la Seconde Française, Beaubleu donne vie à deux références au style de cadran bien différent, la 19.24 et la 20.24. Deux séries de chiffres rappelant des dates qui nous font passer d’un siècle à un autre, d’un simple revers de poignet. Toutes deux se retrouvent à travers une nouveauté bien particulière : la seconde volante. Une trotteuse – ronde, évidemment – qui évolue comme par magie en apesanteur et semble flotter au-dessus du cadran de chacun des modèles de la collection.

A quoi aurait ressemblé une montre Beaubleu il y a cent ans, en 1924 ? La réponse se trouve dans la référence 19.24. Pensé comme si il avait vu le jour au siècle dernier, ce modèle empreint d’un doux parfum de nostalgie conjugue les clins d’œil au passé imaginaire de la Maison. Au sein d’un boîtier de 39 mm de diamètre alternant surfaces polies et brossées, le cadran s’habille d’une fine échelle chemin de fer et de chiffres de style indo-arabe. Aux côtés de la seconde volante qui joue la vedette, les aiguilles rondes des heures et des minutes rappellent les aiguilles feuilles présentes sur les montres les plus traditionnelles. Pour parfaire l’esthétique classique et ronde qui se dégage en tout point de cette référence 19.24, la couronne est dissimulée sous le boîtier, à trois heures. Cette douce version d’antan est disponible en quatre coloris de cadran, bleu de minuit, blanc ivoire, gris anthracite ou vert impérial.

Au sein d’un même boîtier de 39 mm de diamètre, la référence 20.24 est l’alter ego contemporain de son aînée. Elle en impose avec ses teintes monochromes et son design résolument plus moderne. En gris perle ou saumon, son cadran satiné a été pensé comme un négatif embossé à la manière d’une fine feuille de papier. Ici point de chiffre, l’esthétique se veut minimaliste : la minuterie chemin de fer apparaît en relief et se suffit à elle-même. Les aiguilles circulaires sont revêtues de Super-Luminova afin d’accompagner les oiseaux de nuit dans leurs tribulations les plus tardives. Encore et toujours, la seconde volante est bien là, elle n’a pas disparu en un siècle, et effectue sa course de manière mystérieuse à l’extrémité du cadran.

La seconde volante n’est pas la seule grande nouveauté embarquée au sein de la collection Seconde Française. Non sans une pointe de fierté, Beaubleu porte encore plus haut l’étendard tricolore et équipe ses deux références 19.24 et 20.24 d’un mouvement automatique français réalisé par la manufacture France Ébauches et offrant 46 heures de réserve de marche. Comme sur toutes les montres de la Maison, les rouages du calibre sont visibles à travers le fond ouvert du boîtier, notamment le pont de balancier ainsi que la masse oscillante ajourée reprenant la signature de la Maison.

Cette Seconde Française nous lie encore davantage à notre ancrage local et à notre art de vivre à la française. C’est à la manière d’un gentil titi parisien que l’on se voit bien la porter, en savourant l’instant présent, comme toujours…